lundi 3 novembre 2008

Jean Staune - rétrograde

La nouvelle de JS est de faire la fine gueule vis-à-vis de ce qui est publié sur le Web.

Je comprends que ça lui fasse mal que ses non-sens soient critiqués convenablement, mais se voiler la face en disant que ce qui est publié sur le Net n'est pas valable (ce qui ne concernerait pas ce que la JTF publie sur le Net :-) ).

Le problème de Jean est que malgré le fait qu'il n'a laissé passer que les critiques positives sur son forum, par ailleurs il a raconté tellement de bêtises et s'est fait critiquer si vertement (pas que par moi comme il aimerait faire croire) que ça commence à devenir gênant pour son business.

Alors, à une époque où tout le monde se tourne vers la communication via le Web, Jean Staune se réfugie aux publications papier. :-D

Jean Staune n'aime pas la discussion publique autre que celle encadrée par les médias qui font de la pub pour vendre son bouquin. On se demande pourquoi il garde une connexion Internet, il pourrait investir le prix de l'abonnement en papyrus.

Allez Jean, aux travaux pratiques.

En attendant, pour ceux qui ont un peu plus de jugeote, les critiques continueront sur le Web ;-)

3 commentaires:

Anonyme a dit…

ALORS, A QUAND UN NOUVEAU LYNCHAGE NUMERIQUE, MINABLE CONNARD DE FLIC, ORGANISE POUR ” SORTIR DE LEUR BOITE DES GENS ” QUI AURAIENT BESOIN D UNE BONNE LECON PARCE QU'AYANT DÉPLUT A CE GROS LACHE DE SI PEU PRESIDENT QUI S EMPÊTRE DANS SA PATHOLOGIE, MEUH ? http://embruns.net/ aka- Merci de votre commentaire. -Il a été bien enregistré et sera publié prochainement après validation.

Le signifiant perversion donne souvent lieu à de nombreux malentendus. Issu du vocabulaire moral et même ecclésiastique, il garde le plus souvent cette connotation de condamnation morale dans le discours courant. Les variations d'acception et même les luttes idéologiques qui sous-tendent les différentes perceptions de la perversion montrent que cette notion est un enjeu important qui agit comme un indice de la valeur sociale qu'accorde la société, à un moment donné, à la sexualité. Certaines pratiques considérées autrefois comme perverses par le discours moral, sont aujourd'hui communément admises, on en verra des exemples plus loin

Le pervers pense, associe, utilise des comportements de mentalisation. Il s'est sauvé de la psychose et de la psychopathie en construisant lui-même sa loi. Il cherche la justification de la loi dans la raison, et ne l'écoute que dans ce qui l'arrange. Il démontre tout le temps qu'il a raison, et soutient que la loi a une essence rationnelle. Le pervers n'est pas coupable, mais aura quelquefois honte. Le père était trop prévisible. Le pervers n'est pas aussi instable que le psychopathe et peut se contenter des bénéfices d'une relation durable. Il est auto suffisant. Un pervers a eu une hyper stimulation, un bombardement de stimuli qu'il n'avait pas la possibilité de traiter par voie mentale. Il survit à des traumatismes relationnels trop précoces. Le pervers a aussi une confrontation à la loi ainsi qu'une organisation à part qui ressemble à l'état limite. Deux notions importantes chez le pervers: enfant qu'on n'a pas respecté, et composante abandonnique.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Perversion

Anonyme a dit…

bonjour professeur , bonjour tout le monde, je vous propose vivement le site :”www.islam.1er.us ”:
recherche scientifique-islamique qui traite fois: le réve,l’amour & contraste, la vie & la mort , la télépathie & transition , le DEMON et L'organisation criminelle ,la sorellerie , l’ISLAM et religions, la guerre ternelle ,la dimension paralléle,Histoire2000 , je vous prie d'inscrire , publier et debattre , merci beacoup et joyeux et heureuse 2009(//www.philosophie.onlc.fr).

Anonyme a dit…

Ah oui, à Anonyme #1 : pas saisi la pertinence du commentaire.

A Anonyme #2 : je ne suis pas professeur, merci d'éviter de m'attribuer des titres que je ne possède pas.
Je laisse passer la pub des sites proposés, juste pour afficher jusqu'où la connerie peut aller.

Bonne année et continuez, on a besoin de se distraire de temps en temps.